06/03/2013

Faisons le point


Les vacances... Ce sont les premières vacances de Khâgne que j'utilise vraiment comme vacances. Je ne sors pas, je lis, je regarde les musiques à la télévision, je regarde BFM TV, je regarde LCP, je regarde La petite maison dans la prairie. Je ne fais rien. Je ne sors pas. Je n'ai pas de contacts avec l'extérieur, je vis reclus. Cela fait du bien d'être à la campagne quand même. Je me réveille le matin vers 7/8h, les petits moineaux chantent, je pars faire un peu de vélo, je petit-déjeune devant les dessins-animés. C'est fou. Je revis mais en même temps... Je me suis rendu dimanche combien je suis à la bourre dans mes révisions. Je suis même grave à la bourre. Je me suis permis de lire La Guerre des enfants d'Audoin-Rouzeau si cela en intéresse certain(e)s. Et puis... voilà quoi. Quand on est à la bourre, on est à la bourre. Etrangement, je ne suis pas stressé. Eh bien oui, je me dis que de toute façon à ce moment de l'année, les révisions sont des révisions et non pas de l'apprentissage. Alors je tente plus ou moins de faire le maximum.

Je suis quand même un peu crispé

L'histoire, c'est fait. Il ne reste que les exemples à apprendre. Le Français c'est fait aussi. Il ne reste qu'à faire rentrer les citations dans la tête. Le Latin est fait aussi, revoir les temps se fera la veille de l'épreuve. L'Anglais c'est fait. La Géo, je panique à fond. Non pas que je ne sais pas les choses, je les sais. Mais les études de cas, les exemples... c'est plus délicat. D'autant plus que j'ai oublié de prendre mes crayons de couleur pour faire les études de cas. Ouais, j'suis trop un boloss. Mais bon, j'n'y peux rien, je n'ai pas fait exprès. Après la Philo, ce sera pour demain, hein. Une mise au point s'imposera quand même. Bon grosso modo, je suis quand même dans la merde mais ça il ne faut pas le dire. C'est le temps des révisions comme je disais mais l'un n'empêche pas l'autre. Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. Enfin bref.

Je remonte demain sur Grenoble alors que c'était prévu pour vendredi normalement. (Je vais pouvoir faire mes croquis !) Je vais retrouver mon calme appartement, je vais pouvoir faire ce que je veux. J'abrège ce message de bilan. J'y reviendrai après le concours blanc surement qui est la semaine prochaine. Désolé mes lapins mais je viens de voir les 3 mails de la prof d'histoire contenant 14 fiches pour le concours blanc... ahah. Et demain je pars à 11h, je dois faire ma valise. Je vous quitte sur ce morceau d'un magnifique groupe.


26 commentaires:

  1. Mathilde est revenue !
    Alors rien que pour l'image, te dire que même si je te lis moins souvent je t'aime encore et que je te souhaite tout le courage du monde voilà un petit commentaire

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    1. Cela fait plaisir de voir que tu es toujours vivante, petit elfe ! Courage courage à toi aussi !

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  2. Un petit chaaaaat <3!
    Hum.
    Bah t'as quand même bien géré tes vacances :).

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    1. Ouais on va dire cela comme ça. Maintenant je suis mort et pas question de retravailler hormis apprendre des citations et exemples.

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  3. Aaah les vacances... on a tous plus ou moins le même problème d'organisation, mais tu le dis toi-même, ce ne sont que des révisions :)
    Bonne chance!

    PS : j'adore ta chanson!

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  4. La période des vacances où celle que je ne maitrise absolument pas ,d'un côté contrôler ses vacances ne serait pas drôle. C'est fou ce que je ressens de la frustration , de l'angoisse. Je suis en train de rater mes vacances puisque j'ai étudié ,en faisant une pause de deux semaines complètes sans rien faire ,et ,d'un autre côté, j'ai pas fini j'ai lu 2 livres sur 5 en français ,j'ai pas lu les livres de spé .Je suis vidée à tel point que j'arrive plus à avancer ,que j'ai perdu ma motivation. Je ne sais pas comment recharger les batteries , j'ai l'impression d'être constamment en retard. Dois-je lâcher du lest, m'accorder du temps à moi? Et comment?Ca doit être pathétique de lire un message pareil mais je me sens mal , je culpabilise, ça me ronge.J'aime ce que je fais et je m'y lance à corps perdu mais ça m'épuise , me fatigue. J'ai besoin de me libérer de ce poids.

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    1. Peu de personnes parviennent à véritablement dompter les vacances. Je crois que ce n'est pas si grave de n'avoir pas lu les oeuvres en Français. Personnellement je connais des khâgneux et khâgneuses qui n'ont abordé les textes de l'an passé qu'avec le cours, sinon rien. Après je pense que si ta spécialité sont les lettres - ce que je crois percevoir mais trompé-je peut-être - alors il faut retrouver goût à ce qui faisait ton plaisir de lire.

      Laisser un message tel est loin d'être pathétique. L'année de khâgne est une année difficile et il faut prendre le temps de se poser pendant les vacances avant la rentrée et surtout de se reposer l'esprit. Travailler c'est bien mais ce n'est pas ce qui manque au cours de la khâgne ; aussi provincial et petite la prépa peut-elle être. Te lisant j'ai l'impression que tu es déjà perdu/e face à l'année qui arrive à grands pas. Je dirais bien que le tout est de respirer un grand coup mais cela ne fonctionne pas. Faire du sport peut-être un bon moyen de se vider la tête déjà. Ne serait-ce qu'un tour en vélo, une bonne brasse dans l'eau, etc. Et surtout ne pas commencer à culpabiliser de suite, ne pas s'auto-flageller. Cela ne sert à rien. Pour exemple, j'ai lu trois des œuvres au programme de Lettres et j'étais passé à côté ne sachant pas quoi chercher. Le cours est là pour lire correctement les œuvres justement, pour chercher au bon endroit.

      Alors fais-toi un petit planning tranquille, tiens-toi y ou pas mais ce, sans culpabilité derrière. Courage ! Il faut trouver son rythme.

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    2. Le souci c'est quand je regarde sur Internet ,je me fais du mal , et que je vois que les lettres modernes ont lu tous leurs livres -j'en ai rencontré 3- j'ai peur. Je ne suis pas en spé lettres modernes mais en spé philo ,mais je pense que tu as raison. J'ai perdu le goût de la lecture , j'ai l'impression de lire toujours dans la précipitation ,de lire pour lire et qu'importe si l'on retient ou pas - à ce propos , j'ai lu Andromaque cette année et je m'en souvenais plus...

      Je prends cette année trop à cœur , je ne sais pas comment l'aborder. Puis, je ne sais pas où aller après la prépa , je me vois pas me spécialiser dans un domaine même si je l'apprécie , ce qui m'angoisse encore plus.:je suis bien perdue en effet .Mais si je n'ai pas fini de lire est-ce que je trouverais justement le temps en khâgne? Avec tous les devoirs ,est-ce que c'est réellement possible?

      Je pense finir le faiseur , lire Epicure et finir la philo .Puis ,je m'accorderai une pause de quelques jours.

      Merci pour ce message qui m'a vraiment mis du baume au cœur.

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    3. Les lettres modernes ne travaillent pas avec la même méthode que les spé philo ou que les historiens, etc. Chaque matière possède ses spécificités. J'ai lu des livres aussi en HK que j'ai oubliés en cours de Khâgne, c'est normal en même temps, avec tout ce que l'on voit.
      Aborder la Khâgne en la regardant de loin. Il y a déjà beaucoup à faire en khâgne, beaucoup de stress et compagnie, il ne sert à rien de se mettre une pression monstre avant même la rentrée : c'est un coup à se casser la gueule dès les premières semaines.
      Pour lire tu l'auras le temps si et seulement si tu te l'aménages. Mes amis me disaient ne pas savoir comment je faisais pour lire à côté ou regarder des séries. Même si les lectures étaient parfois pour les cours, il s'agit aussi de s'aménager un temps de travail différent. Bosser en cours, bosser à la maison, lire pour les cours, apprendre, lire pour soi : chaque activité ne nécessite pas la même concentration ni le même travail. (:

      Si jamais tu as besoin, ma boîte mail est ouverte.

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  5. Mais je trouve ça tellement dommage la lecture perd toute sa saveur .Mais comment faisais-tu pour pouvoir lire? je suis admirative. J'ai pas lu beaucoup cette année et encore j'ai oublié certaines lectures , et quand je pense que cette fois-ci il faut se souvenir des œuvres...
    Difficile d'appréhender son temps , de l'aménager peut -être que je n'ai pas su le faire jusqu'à maintenant, peut-être qu'il faut que je revoie mon fonctionnement.

    J'ai un petit souci avec ma boite mail en ce moment mais c'est gentil. Je garde ton adresse précieusement.

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    1. Le truc c'est de se dire : ce soir je fais ça et je m'y tiens. Parfois je sentais que je pouvais mieux faire sur une dissertation en travaillant plus. Mais il faut aussi savoir passer outre et se dire qu'au concours nous n'avons que X heures et pas plus. Donc il faut éviter de passer des dizaines d'heures sur un devoir en particulier. Je me suis d'ailleurs rendu compte que je pouvais bien penser au sujet pendant plusieurs jours mais que dès lors que je commençais à écrire mon brouillon, je devais faire la dissertation dans la foulée parce qu'on est pas dans le même état d'esprit le lendemain.

      Et faut lire en se détachant des cours surtout. C'est difficile, je l'accorde.

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  6. Mais tu passais beaucoup de temps sur tes devoirs le soir? Tu te donnais des horaires pour chaque "tâche" à effectuer?

    Il faut lire en se détachant de ses cours ,comment ça? Enfin , je veux dire nos lectures n'ont-elles pas presque toujours un lien avec le programme?

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    1. Non, je n'avais pas d'horaires fixes. Mais par exemple, le lundi je n'avais rien de 15h à 17h alors c'était mon créneau « Latin » où je faisais le petit latin pour le mardi et/ou le vendredi. Le mardi soir, après une journée de neuf heures, je ne faisais rien. Cela dépendait surtout des horaires. Après, je bossais en général deux à trois heures en rentrant chez moi les soirs.

      Eh bien non, les lectures ne sont pas toujours en lien avec le programme. Personnellement, je prenais des livres pour le plaisir que je ne pouvais que difficilement rattacher aux autres œuvres. Au programme, oui mais je m'efforçais de ne pas y penser. C'est difficile mais il faut parvenir à faire la part des choses : rassure-toi, je n'y suis arrivé qu'en janvier.

      Je crois que tu te poses trop de questions. Tu trouveras ton rythme en arrivant. Et puis cela dépend également du taux horaire que l'on vous demande par rapport aux devoirs. (: Je ne cache cependant pas que la khâgne fut lourde en investissement pour employer son temps.

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  7. Je vois, forcément les horaires font beaucoup si tu finis à 15 h c'est pas pareil que si tu termines à 19h.Est-ce que tu as changé ton rythme de travail par rapport à l'hypokhâgne?

    C'est sûr qu'il faut savoir faire des pauses ,se détourner de la prépa :plus facile à dire qu'à faire. Cette année côté lecture c'était l'enfer ,je me suis même obligée à lire une œuvre en deux heures. Du coup , je sortais en ville ,j'avais besoin de prendre l'air. J'avoue que j'avais envie de faire du sport ,mais mon piètre niveau a eu raison de moi ,et puis les œuvres m'ont manquée .I faut dire que lorsqu'on me dit livres je pense inévitablement à la prépa , je culpabilise si ça n'a pas un lien avec.

    Je suis d'un tempérament anxieux en effet , je pèse le pour et le contre et réfléchis beaucoup avant de prendre une décision ; ça joue peut être en ma défaveur.

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    1. Les horaires y font beaucoup oui. Je sais qu'avant le mercredi aprem, je ne bossais pas - hormis la tranche 15h/17h où je restais au lycée.
      Pour te dire je fais le lundi : 8-12/13-15 et reprise pour 17-18. Et le mardi 8-12/13-18. Deux grosses journées avant d'avoir plus de lest dans la semaine.
      Pour répondre à ta question : oui, j'ai changé mon rythme de travail. J'ai plus travaillé en khâgne mais surtout, et c'est l'essentiel, j'ai travaillé plus efficacement donc je me suis accordé plus de temps de libre. Au lieu de lézarder sur un point X pendant une heure où, quand je n'avais pas envie, j'allais faire autre chose - série, internet... -, j'ai mis à profit mon temps pour les choses mieux, je dirais. Mais il n'empêche que j'ai plus bossé en khâgne parce que notre cours - surtout en lettres - n'était que prémâché et non pas tout fait comme en HK.

      Plus facile à dire qu'à faire comme tu dis, j'en suis bien conscient. Le sport fait un bien fou, je peux te l'assurer. Faut le faire à son rythme. Et l'effet du je-vois-de-partout-la-prépa, je l'ai connu aussi. Je ne pensais que prépa, mais tu vas t'en sortir je te rassure.

      Je suis de même très stressé par n'importe quoi donc t'en fais pas, tu survivras !

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  8. Mais qu'entends-tu par "j'ai travaillé plus efficacement"? Tu travaillais sur autre chose , si tu ne voulais pas faire tel devoir? Nous on a pas eu de cours de lettres ; la prof nous a lu quasiment une œuvre intégrale en entier et lisait des polycopiés. Tu travaillais pendant combien d'heures en hypokhâgne?

    Pour le sport ,faut que je surmonte cette appréhension , me dire que j'y vais pour moi et pas pour les autres mais c'est pas gagné.

    Allez on y croit ,on se motive !

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    1. En Hypokhâgne, c'est facile de se laisser distraire. En khâgne on sait qu'on a le concours à la fin et que même si on ne l'aura pas, on veut avoir des notes pas trop mauvaises. Avec la khâgne, on apprend à aller plus à l'essentiel, et à balayer les points inutiles sur lesquels on pouvait s'attarder en HK. Et ma prof de Français en HK lisait aussi des polycopiés. Mais en khâgne non, on a bâti le cours avec elle.

      Il ne reste que quelques jours ! On y croit !

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  9. Je comprends , c'est sûr que même si on sait qu'on n'aura pas le concours ça donne un coup de fouet , et dans une certaine mesure on a la pression. D'ailleurs, ce système d'admissibilité me dépasse complétement , je n'ai jamais compris s'il y'avait un barème ou une moyenne préétablie à l'avance.

    Tout ça reste encore un peu abstrait, je verrai sans doute au fil de l'année. Mais c'est génial de participer au cours , de pas avoir des profs qui te lisent des polycopiés ou qui carrément te distribuent des polycopiés de 100 pages.

    Oui , c'est passé vite! Je te souhaite une bonne rentrée et continues à nous tenir au courant(j'aime ce petit blog ^^) !

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  10. Une inquiétude qui me suit depuis le début de l'année ,c'est peut être un peu HS. J'ai des notes très mauvaises depuis la rentrée, sur 4 Ds j'ai eu la moyenne qu'à un devoir (4,7.5,7,11.5).Je ne sais pas si c'est moi qui ai un problème ou s'il faut un temps d'adaptation ,j'avoue avoir du mal à trouver mes marques(je me sens débordé et je suis un peu découragé face aux 10 khubes expérimentés ), mais je me fais du souci. Est-ce que c'est normal d'avoir de telles notes? Combien met-on de temps avant de s'adapter vraiment à la khâgne? Finalement ,est-ce moi qui ai un problème?

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    1. Il ne faut pas voir cela en termes négatifs, pas forcément. En début d'année de Khâgne, j'ai mis longtemps à trouver une méthode appropriée pour travailler efficacement - sans me fatiguer, en réfléchissant correctement. Après, pour l'année de Khâgne, j'ai eu 2 fois la moyenne en Anglais à l'écrit, jamais à l'écrit de Latin ni en Histoire. L'important est surtout le fait que tu progresses d'ici à avril. Le déblocage se fait au cours de l'année. Je l'ai eu en janvier. Ce n'est pas facile.

      Courage et profite des vacances pour te reposer !

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  11. Mais est-ce que tout le monde est dans ce cas? Ca me contrarie , je perds peu à peu ma motivation. Par ailleurs, est-ce que tu te couchais à 23h tous les jours? Parce que j'avoue ne pas arriver à tenir le rythme. Et est-ce que tu travaillais entre 12h et 13h? Je me sens assez démunie , je coule. Et tu as beaucoup progressé? Enfin ,si tu avais dit au conseil de classe que tu voulais cuber , on t'aurait accepté(ils regardent tes résultats ou ils t'acceptent même si tu n'as pas des notes formidables mais que tu montre de la bonne volonté)? Je ne sais pas où je vais ,du coup je me pose beaucoup de questions. Je suis pas à l'aise cette année.

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    1. En général les déblocages se font en décembre/janvier. C'est normal de perdre sa motivation. Je me couchais à 23h voire plus tard. Mais hors de question de travailler quand c'était la pause déjeuner. Il faut savoir se poser aussi de temps en temps, de prendre du temps même si on est à la bourre.
      J'ai progressé de partout pas de manière notable. Oui je voulais cuber et j'ai su après que j'avais été pris. Mais après faut pas non plus comparer. Cela dépend des prépas, cela dépend des années. Cela dépend de beaucoup de choses. Cela dépend de la prépa si elle veut du chiffre, de la motivation, etc.

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  12. Mais justement comment reprendre confiance en soi (déjà que j'étais pas sûr de moi avant d'entrer en prépa...)?Tu arrivais à tenir, tu t'écroulais pas en cours? C'est sûr on a qu'une heure pour manger il faut en profiter. Et tu travaillais tard le soir?

    Puis, ce classement a le don de me stresser - à ce propos, quand est-ce qu'a lieu le conseil de classe?-, j'ai l'impression que si t'es pas dans la première partie du classement c'est fichu. Mais je pense tout de même que la progression est un critère important. Je vois , de toute manière ,je ne sais pas ce que je veux faire plus tard ,c'était juste pour avoir une petite idée.

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    1. Reprendre confiance en soi = viendra avec des évolutions dans les notes. Donc tu te reposes pour être capable de rendre des devoirs plus suffisants. Nope, je ne me suis jamais écroulé - quelques fois endormi. Et il m'arrivait de travailler tard le soir mais je limitais, je passais le mercredi aprem et le samedi à la bibliothèque pour cela.

      Cela dépend. Si ton lycée fonctionne en trimestres, en novembre/décembre. S'il fonctionne en semestre décembre/janvier.

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  13. D'accord. "Tu te reposes" c'est-à-dire (pendant les vacances)? Oui , endormi et écroulé étaient synonymes pour moi.

    D'accord ,merci beaucoup.

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  14. Tu en profites pour faire autre chose que la prépa. Si cela ne va vraiment pas, parles-en autour de toi.

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